Le Journal de Bridget Jones (2001)

Shitlist

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Adapté librement de Orgueil et préjugés de Jane Austen, Le livre Le journal de Bridget Jones de Helen Fielding sort en librairie en 1996 fait office d’une bombe d’abord en Angleterre puis à travers le monde. Un livre décomplexé sur la sexualité et l’image du corps, de la féminité et de l’amour qui va vite attirer une armée de producteurs pour sécuriser les droits d’adapter le best seller en film.

Transposé au cinéma avec Richard Curtis au scénario, déjà couronné du succès de son Quatre mariage et un enterrement et un casting de folie avec un trio de sex symbol de l’époque, L’américaine Renée Zellweger, et les deux britanniques Colin Firth et Hugh Grant. Le film va rapporter un joli pactole et devenir culte.

Mais aussi engendrer une génération de complexée s’identifiant à Bridget, un discours un poil puant , une image de la société et des rapports hommes, femmes ayant déjà vieilli en 2002, bref, est ce que le film est devenu vraiment pourri en 20 ans ?

Gigantesque coprod entre Working title, Studiocanal et les Weinstein avec un budget e 26 millions de dollars, adapté du roman de Helen Fielding qui participe au script avec Richard Curtis et Andrew Davies. Réalisé par Sharon Maguire, réalisatrice de documentaire de la BBC et amie de l’autrice du roman aidé à la photo par Stuart Dryburgh qui est oscarisé pour la photo de La Leçon de Piano de Jane Campion.

Célibataire, la trentaine, persuadée que tout le monde est heureux sauf elle, Bridget Jones interprété par Renée Zellweger a deux ambitions dans la vie : perdre du poids et trouver le grand amour. Des désirs apparemment raisonnables, mais visiblement impossibles à satisfaire. Tandis que ses amis, Jude, Sharon et Tom, ne cessent de lui prodiguer des avis aussi inutiles que désespérés, Bridget hésite entre deux prétendants : son patron, Daniel Cleaver sous les traits de Hugh Grant ; et Mark Darcy joué par le Fantasme de toutes les littéraires du monde, Colin Firth, un vieil ami de la famille qui lui a paru de prime abord ennuyeux et distant…

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Chroniqueur : Wonder Vesper, Emmanuel PEUDON, Karim BERRADIA et présenté par Luc LE GONIDEC

Host : Luc LE GONIDEC
Musique Jean Baptise BLAIS
Montage et mixage son : Luc LE GONIDEC