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PANIQUE CHEZ LES GAUCHISTES : UN EX-JOURNALISTE DE FRANCE INFO CONDAMNÉ POUR 700 VI*LS ! | GPTV
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Le 29 novembre à 12h30, Mike Borowski analysait l’actualité surGPTV.
Un ancien journaliste de France Info, du Canard enchaîné, de Charlie Hebdo et d’Envoyé spécial, Jean-Philippe Desbordes, a été condamné pour avoir commis 700 viols accompagnés de torture, des crimes d’une gravité exceptionnelle. Pourtant, cette affaire, qui aurait dû bouleverser l’opinion publique et occuper la une des journaux, a été largement passée sous silence par les grands médias.
Le silence des médias : une stratégie de protection ?
L’absence quasi totale de couverture médiatique autour de cette condamnation choque autant qu’elle inquiète. Comment expliquer que des médias, d’ordinaire si prompts à dénoncer les scandales dans d’autres milieux, aient choisi cette fois de détourner le regard ? Ce silence semble s’expliquer par une solidarité implicite au sein de la profession. En protégeant l’un des leurs, les journalistes cherchent peut-être à préserver une image collective déjà ternie par des accusations récurrentes de partialité, d’entre-soi et de connivence.
Mais ce choix d’éviter le sujet ne fait qu’aggraver la méfiance croissante du public. Nombreux sont ceux qui voient dans cette discrétion une nouvelle preuve de collusion entre élites médiatiques et culturelles, renforçant l’idée d’un système déconnecté des réalités qu’il prétend analyser.
Quand l’élite médiatique échappe à tout contrôle
Ce scandale dépasse la seule question du journalisme. Elle renvoie à un problème plus vaste : celui des élites médiatiques et culturelles qui, à force d’impunité, deviennent le terrain fertile de comportements abusifs. Des affaires retentissantes comme celles de Gabriel Matzneff ou de Jeffrey Epstein ont montré comment certains membres des cercles influents se considèrent au-dessus des lois.
Ces comportements relèvent d’une véritable quête de toute-puissance, où les abus sexuels deviennent un outil d’affirmation de leur domination sur des victimes réduites au silence. Ce schéma de prédation, loin d’être isolé, semble se répéter à travers différentes affaires impliquant des figures publiques, alimentant l’idée d’une élite hors de contrôle.
Un système organisé derrière les actes isolés ?
L’ampleur des crimes commis et leur répétition sur plusieurs années posent une question cruciale : l’accusé a-t-il agi seul ou faisait-il partie d’un réseau structuré ? Les précédents historiques, comme le réseau Dutroux ou l’affaire Epstein, ont démontré que ces crimes ne sont que rarement le fait d’un individu isolé.
La complaisance – voire la complicité – de certaines institutions joue un rôle central en permettant à ces prédateurs d’opérer dans l’ombre. En choisissant de taire ou de minimiser l’affaire, certains journalistes participent indirectement à la protection de ces réseaux, consolidant ainsi une impunité structurelle ancrée dans les cercles du pouvoir.
Une crise morale au cœur du journalisme français
Le mutisme entourant cette affaire est révélateur d’une crise morale profonde au sein du système médiatique français. En refusant de dénoncer l’un des leurs, les journalistes s’enfoncent dans un paradoxe qui accentue la perte de confiance du public envers une profession pourtant essentielle à la démocratie.
Ce scandale doit servir d’électrochoc : si les médias ne sont pas capables de traiter leurs propres dysfonctionnements en toute transparence, comment peuvent-ils prétendre informer avec rigueur et objectivité ?
Refusez l’omerta médiatique, procurez vous votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde en cliquant sur l’image :
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Le 29 novembre à 12h30, Mike Borowski analysait l’actualité surGPTV.
Un ancien journaliste de France Info, du Canard enchaîné, de Charlie Hebdo et d’Envoyé spécial, Jean-Philippe Desbordes, a été condamné pour avoir commis 700 viols accompagnés de torture, des crimes d’une gravité exceptionnelle. Pourtant, cette affaire, qui aurait dû bouleverser l’opinion publique et occuper la une des journaux, a été largement passée sous silence par les grands médias.
Le silence des médias : une stratégie de protection ?
L’absence quasi totale de couverture médiatique autour de cette condamnation choque autant qu’elle inquiète. Comment expliquer que des médias, d’ordinaire si prompts à dénoncer les scandales dans d’autres milieux, aient choisi cette fois de détourner le regard ? Ce silence semble s’expliquer par une solidarité implicite au sein de la profession. En protégeant l’un des leurs, les journalistes cherchent peut-être à préserver une image collective déjà ternie par des accusations récurrentes de partialité, d’entre-soi et de connivence.
Mais ce choix d’éviter le sujet ne fait qu’aggraver la méfiance croissante du public. Nombreux sont ceux qui voient dans cette discrétion une nouvelle preuve de collusion entre élites médiatiques et culturelles, renforçant l’idée d’un système déconnecté des réalités qu’il prétend analyser.
Quand l’élite médiatique échappe à tout contrôle
Ce scandale dépasse la seule question du journalisme. Elle renvoie à un problème plus vaste : celui des élites médiatiques et culturelles qui, à force d’impunité, deviennent le terrain fertile de comportements abusifs. Des affaires retentissantes comme celles de Gabriel Matzneff ou de Jeffrey Epstein ont montré comment certains membres des cercles influents se considèrent au-dessus des lois.
Ces comportements relèvent d’une véritable quête de toute-puissance, où les abus sexuels deviennent un outil d’affirmation de leur domination sur des victimes réduites au silence. Ce schéma de prédation, loin d’être isolé, semble se répéter à travers différentes affaires impliquant des figures publiques, alimentant l’idée d’une élite hors de contrôle.
Un système organisé derrière les actes isolés ?
L’ampleur des crimes commis et leur répétition sur plusieurs années posent une question cruciale : l’accusé a-t-il agi seul ou faisait-il partie d’un réseau structuré ? Les précédents historiques, comme le réseau Dutroux ou l’affaire Epstein, ont démontré que ces crimes ne sont que rarement le fait d’un individu isolé.
La complaisance – voire la complicité – de certaines institutions joue un rôle central en permettant à ces prédateurs d’opérer dans l’ombre. En choisissant de taire ou de minimiser l’affaire, certains journalistes participent indirectement à la protection de ces réseaux, consolidant ainsi une impunité structurelle ancrée dans les cercles du pouvoir.
Une crise morale au cœur du journalisme français
Le mutisme entourant cette affaire est révélateur d’une crise morale profonde au sein du système médiatique français. En refusant de dénoncer l’un des leurs, les journalistes s’enfoncent dans un paradoxe qui accentue la perte de confiance du public envers une profession pourtant essentielle à la démocratie.
Ce scandale doit servir d’électrochoc : si les médias ne sont pas capables de traiter leurs propres dysfonctionnements en toute transparence, comment peuvent-ils prétendre informer avec rigueur et objectivité ?
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