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L'allumeur de réverbères

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Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeurdereverbere.over-blog.com/À travers ce podcast, nous tenterons d'apporter une lecture approfondie de l'actualité politique et sociale, de questionner les codes établis et de mettre en avant des initiatives innovantes et courageuses. Féminisme intersectionnel, projets écoresponsables, démocratie participative, contestations sociales, innovation artistique ou technologique, sont autant d'exemples de sujets qui seront abordés ici. On espère que la diversité des sujets et des thèmes abordés, loin de donner une impression de dispersion, permet d’allumer nos réverbères sur toutes ces questions et d’accroître un peu votre et notre esprit critique.Bonne écoute, et gardons nos lanternes allumées !Retrouvez-nous sur Facebook : www.facebook.com/lallumeurdereverberes/Et sur Twitter : twitter.com/DeAllumeur
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Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour le 32ème épisode du podcast L'allumeur de réverbères , nous avons choisi de tourner notre lanterne vers un métier particulier : accompagnantes des élèves en situation de handicap (AESH) . Le sujet concerne de plus en plus d'enfants, puisque le nombre d'élèves autistes ou handicapés a connu une croissance exponentielle depuis la Loi pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, adoptée le 11 février 2005. Cette dernière vise une accessibilité généralisée intégrant tous les handicaps, d'ordre physique, auditif, visuel ou mental, y compris dans les écoles dites ordinaires. En 2005, on comptait environ 135 000 élèves handicapés ou autistes scolarisés dans le cadre ordinaire ; en 2024, on en compte désormais près de 450 000, dont 10% de personnes autistes. Une petite majorité est présente dans des classes dites ordinaires, et environ 25% en classes dites ULIS (unités localisées pour l'inclusion scolaire). L'augmentation est de plus de 130% dans l'école primaire, et de plus de 470% dans le secondaire. Le nombre d'enfants handicapés ou autistes scolarisés dans des établissements spécialisés est quant à lui resté stable sur vingt ans, autour de 77 000 chaque année. Toutefois, la Loi de 2005 n'a pas été accompagnée d'investissements suffisants pour adapter comme il se doit les écoles à cette ambition d'accessibilité et d'inclusion. Cela affecte particulièrement le métier d'AESH – anciennement nommée AVS (auxiliaire de vie scolaire) –, dominé à 93% par des femmes, et dont le rôle est de s'occuper de l'accompagnement, de la socialisation, de la sécurité et de l'aide à la scolarisation, au bénéfice d'enfants handicapés ou présentant des caractéristiques invalidantes, dans des classes spécialisées ou dites ordinaires. Pour nous éclairer sur le sujet, nous avons fait le choix de revenir en Seine-Saint-Denis (93), département particulièrement affecté par les carences en la matière. Nous avons donc tendu le micro le 13 novembre dernier, à Romainville (où le taux de recouvrement des AESH n'est que de 41%), à Malika, AESH depuis 2015, et mère d'un enfant handicapé, et à Charlotte, enseignante en primaire depuis 2002, également mère d'un enfant autiste. L'épisode a permis de brasser large, en traitant non seulement du statut, des conditions de travail, du revenu du métier d'AESH, mais également des procédures (complexes et laborieuses) pour bénéficier du recouvrement – ne serait-ce que partiel – d'une AESH. L'échange a permis également d'aborder la question du validisme , du regard porté sur les personnes handicapées ou autistes dans la société, en particulier dans le cadre scolaire, et les discriminations dont ces dernières sont victimes. Retrouvez-nous sur Facebook : facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : x.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour ce trente-et-unième épisode des podcasts L’allumeur de réverbères , nous nous intéressons à un procédé à visée thérapeutique de plus en plus utilisé dans le secteur psychosocial et médicosocial, à savoir la médiation animale. Adaptée à des publics divers, cette pratique recourt, comme son nom l’indique, à la présence d’un animal favorisant le lien, la relation à l’autre. L’animal peut être un chien, un cheval (avec l’équithérapie), un animal de ferme, un âne, etc. La médiation animale est aujourd’hui essentiellement utilisée auprès de publics accueillis en structures du handicap, ou en Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), et plus rarement au sein des prisons, des crèches ou des foyers de la Protection de l’Enfance. Elle permet de maintenir et de favoriser le bien-être physique et psychologique du sujet, et implique généralement une triade d’intervenants : l’animal, le référent et le bénéficiaire – auxquels peut s’ajouter le personnel soignant de ce dernier. Si cette pratique s’est développée ces dernières décennies, elle est encore peu encadrée et insuffisamment documentée, ce qui peut s’expliquer en partie par le caractère récent du droit animalier en France. Il existe par exemple trois diplômes universitaires en médiation animale en France (à Clermont-Ferrand, Paris Descartes et Paris XIII), mais aucune ne confère un diplôme d’État. En outre, la médiation animale ne faisant l’objet d’aucune reconnaissance officielle, les organismes de formation définissent librement leurs contenus, leur durée et leurs coûts. C’est pour y voir plus clair dans cette approche et ses vertus bénéfiques que nous avons donné le micro le 7 juin dernier à une professionnelle du secteur médicosocial : Anne, assistante sociale et formée en psychologie, qui intervient en médiation animale depuis presque douze ans auprès d’enfants en situation de handicap mental, psychique, physique et social, ainsi que de personnes âgées, avec ses chiennes Loubia et Mousky. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://x.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour le 30ème épisode du podcast L'allumeur de réverbères , nous avons choisi de traiter un sujet largement sous-traité dans les médias en France, à savoir la situation des familles monoparentales, qui sont dirigées à 85% par les mères seules. En France, cette situation concerne de plus en plus de monde, puisqu'entre 1990 et 2024, les familles monoparentales sont passées de 950 000 à 1,7 million – pas moins d'une famille sur quatre connaît donc actuellement une situation de monoparentalité. Et leur situation est très précaire, puisqu'un tiers d'entre elles vit sous le seuil de pauvreté. Certes, depuis quelques mois, une certaine émulation (toute relative) est observée sur le sujet – dans la recherche, dans les médias et dans la sphère politique, par exemple. Toutefois, rien de concret n'est encore survenu de la part du gouvernement, et en France, nous restons loin, très loin, d'avoir un statut et des droits dédiés qui seraient spécifiques aux familles monoparentales. (Une mission parlementaire sur la monoparentalité a été lancée courant mars 2024, mais son travail reste en cours et ses résultats ne sont donc pas encore connus.) Pour nous éclairer sur le sujet, nous avons donné le micro à Marilyn Pruvrel, qui vit depuis plusieurs années à Poitiers, où elle élève sa fille depuis presque six ans. Elle est présidente depuis 2023 de l'association Parents Solos 86, dans le département de la Vienne, et adhérente de la Collective des Mères Isolées, une association nationale (née dans le 93) qui milite pour les droits et contre l'invisibilisation des mères célibataires. Photo de garde de l'article : Journée d'activités (partage de la galette des rois, rencontre entre parents solos et enfants, échanges sur les projets) organisée à Poitiers, en janvier 2024, par l'association Parents Solos 86. (Crédit photo © Parents Solos 86) Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Os podcasts e artigos do Acendedor de lampiões encontram-se no link: https://oacendedordelampioes.over-blog.com Para o dia 25 de Abril de 2024, que comemora os 50 anos da Revolução dos Cravos em Portugal, voltamos no processo revolucionário (cujos detalhes são em geral bastante desconhecidos), que seguiu a queda do regime salazarista no dia 25 de Abril de 1974, para deconstruir alguns preconceitos e para entender melhor o que justifica a palavra « revolução » no novo país que então tomava forma. As representações mais comuns dos acontecimentos que compõem a Revolução dos Cravos são geralmente muito lineares e convencionais. Contudo, a história raramente é linear ou simples. Foi pelos menos o que a historiadora Raquel Varela, Investigadora e Professora em história global do trabalho e dos conflitos sociais na Universidade Nova de Lisboa, desmonstrou muito bem no seu livro História do povo na Revolução Portuguesa – 1974-1975, publicado em 2014. Ela detalhe os 19 meses que seguem o dia 25 de Abril de 1974, durante os quais o Portugal conheceu um movimento social e um clima revolucionário nunca visto antes no país. Os 19 meses que seguiram ao 25 ​​de Abril de 1974 constituem uma proliferação de experiências de autogestão, cogestão e democracia participativa, com uma dualidade de poderes entre, por um lado, o Estado, e por outro milhares de conselhos de trabalhadores, conselhos de soldados no Exército, e conselhos de moradores em muitos bairros. Demos o micro à Senhora Doutora Raquel Varela, por videoconferência, no dia 26 de Fevereiro passado, para falar dos desafios e das dinâmicas desta revolução social – e não apenas política – que revelou-se ser a Revolução Portuguesa de 1974-1975. Podem seguir o nosso podcast no Facebook: https://www.facebook.com/oacendedordelampioes.blog…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour ce vingt-neuvième épisode du podcast L’allumeur de réverbères , qui coïncide avec les commémorations des cinquante ans de la Révolution des Œillets, qui eût lieu le 25 avril 1974 au Portugal et mit fin à 48 ans de dictature salazariste, nous avons choisi de revenir sur le processus révolutionnaire, bien souvent méconnu, qui suivit cette journée du 25 avril. Un processus de 19 mois au cours desquels le Portugal connût un mouvement social et un climat révolutionnaire jamais vu dans le pays, avec des milliers de grèves, de manifestations, d’occupations d’usines, d’entreprises et d’équipements publics, de logements vides, de propriétés terriennes – bref, des moyens de production. Les 19 mois qui succèdent le 25 avril 1974 constituent un foisonnement d’expériences d’autogestion, de cogestion et de démocratie participative, avec une dualité des pouvoirs entre, d’un côté, les pouvoirs publics, et de l’autre des centaines de conseils ouvriers et de travailleurs, de conseils de soldats dans l’Armée, et de conseils d’habitants dans de nombreux quartiers. Pour revenir sur l’ensemble de ce processus, sur ses enjeux, et pour nous aider à déconstruire un certain nombre d’idées reçues sur ladite Révolution des Œillets (en référence aux œillets rouges plantés dans les fusils des soldats) – notamment le mythe d’une « révolution sans morts », qui occulte les 13 années de guerres décoloniales qui ont pourtant largement motivé le coup d’État du 25 avril –, nous avons donné le micro le 26 février dernier, en visio, à : Raquel Varela, historienne, chercheuse et enseignante à l’Université nouvelle de Lisbonne, et autrice de plusieurs ouvrages parmi lesquels l’essai Un peuple en révolution. Portugal – 1974-1975 , publié en 2014. En complément de cet entretien, et pour aborder les effets et les perceptions de la dictature salazariste et de la Révolution des Œillets sur les Portugais ayant émigré en France (plus de 900 000 exilés entre 1957 et 1974), nous avons également donné le micro, le 15 avril dans le 20ème arrondissement de Paris, à : José Vieira, arrivé en France, plus précisément dans un bidonville de Massy, à l’âge de 7 ans en 1965, aujourd’hui réalisateur d’une trentaine de documentaires et auteur du livre Souvenirs d’un futur radieux , publié en mars de cette année. L'épisode du podcast est accessible sur nos différentes plateformes de diffusion en version française, mais également en version portugaise. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour ce 28ème épisode du podcast, nous avons décidé de mettre en lumière un mouvement pédagogique et politique qui milite depuis près d'un siècle pour revoir tous les paradigmes qui ont guidé l'édification de l'École de la République depuis le XIXème siècle, et par exemple les Lois Ferry (1881-1882). L’éducation nouvelle défend le principe d’une participation active des individus à leur propre formation et à leurs apprentissages. L’idée est de sortir de la simple accumulation de connaissances pour avoir une approche globale de l’éducation qui permette de susciter chez l’individu l’esprit d’exploration et de coopération. Une importance égale y est accordée aux différents domaines éducatifs, et l’apprentissage de la vie sociale y est considérée comme centrale. L’éducation nouvelle fonde sa philosophie dans la confiance dans les ressources propres à chacune et chacun. En somme, elle reconnaît l’ éducabilité du genre humain . Pour nous éclairer, nous avons donné le micro le 3 novembre dernier, à Saint-Ouen, à Pascal DIARD, né en 1961, professeur d’Histoire-géographie à Saint-Denis, et responsable Île-de-France du Groupe Français Éducation Nouvelle (GFEN). Le GFEN est un mouvement de recherche et de formation en éducation, fondé dans les années 1920. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour ce 27ème épisode du podcast L'allumeur de réverbères , nous vous proposons le second volet d'une série dédiée à la crise de l'école publique, avec toujours un zoom sur la Seine-Saint-Denis (93). Dans le premier épisode ( Crise de l'école publique, quelle réalité en Seine-Saint-Denis ? (1/2) quand l'approche comptable de l'Éducation nationale accentue des difficultés ), nous avions introduit des notions indispensables pour comprendre le métier et sa complexité : REP, REP +, SEGPA, ULIS, UPE2A, DHG, etc. Les deux intervenantes avaient également évoqué leur parcours et leurs motivations. Pour ce second volet, nous retournons dans le 93 pour la suite de nos entretiens avec deux enseignantes de Montreuil : Jeanne, professeure d'histoire-géographie dans le secondaire depuis moins de dix ans, et qui a déjà enseigné à Paris par le passé ; Et Marion, maîtresse dans le primaire depuis plus de quinze ans, et qui a enseigné dans d'autres départements franciliens par le passé. (Leur prénom est modifié et le nom de leur établissement pas mentionné.) Dans ce nouvel épisode, elles reviennent pour nous sur l'importance des autres métiers de l'école : ATSEM, AESH, assistantes pédagogiques, CPE, etc. Elles parlent également salaires, conditions de travail, formation, et, sujets très accentués dans un département comme la Seine-Saint-Denis, crise du recrutement, place croissante des contractuels dans la profession, évitement scolaire... Photo de garde de l'épisode : Écoles élémentaires Boissière et Fabien, à Montreuil. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour ce 26ème épisode du podcast L'allumeur de réverbères , nous vous proposons un format en deux volets pour aborder le métier d'enseignant·e et comprendre la crise de l'école publique en France, avec un zoom sur un département particulier, la Seine-Saint-Denis (93). Pour cela, nous avons interviewé deux enseignantes de Montreuil, respectivement le 4 novembre 2022 et le 10 janvier 2024 : Jeanne, professeure d'histoire-géographie dans le secondaire depuis moins de dix ans, et qui a déjà enseigné à Paris par le passé ; Et Marion, maîtresse dans le primaire depuis plus de quinze ans, et qui a enseigné dans d'autres départements franciliens par le passé. (Leur prénom est modifié et le nom de leur établissement n'est pas mentionné.) Dans ce premier volet, nous revenons sur leur parcours, l'évolution du métier, la période du COVID, ce qui les a motivées à devenir enseignantes, et sur des notions qui introduisent l'auditrice et l'auditeur au sujet : REP, SEGPA, ULIS, UPE2A, DHG, etc. En outre, Jeanne développe dans ce premier épisode des problématiques spécifiques au secondaire, notamment le décrochage scolaire, ou encore la répartition des horaires entre enseignant·e·s des différentes matières (au collègue et au lycée). Dans le second volet ( Crise de l'école publique, quelle réalité en Seine-Saint-Denis ? (2/2) « D'un bout à l'autre, l'institution dysfonctionne et maltraite ses fonctionnaires » ), elles reviendront sur l'importance de l'équipe pédagogique qui appuie les enseignant·e·s, ainsi que sur une palette d'autres sujets qui expliquent la crise du métier : salaires, conditions de travail, formation, et – problématiques criantes dans le 93 – crise du recrutement, place des contractuels, évitement scolaire, etc. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour ce 25ème épisode du podcast, nous avons décidé de mettre en lumière un métier du monde du spectacle, à destination des enfants comme des adultes, à savoir celui de marionnettiste. La marionnette (et ses variantes) est une figure qui a traversé les âges et les frontières, et que l'on retrouve dans la plupart des sociétés humaines avec des fonctions diverses (divertissement, véhicule de la mémoire, diffuseur d'idées ou de croyances, moyen de satire politique, etc.). Incontestablement, une marionnette est plus qu’un simple pantin articulé. Elle couvre des personnages qui sont souvent le fruit de beaucoup de réflexion, d’études, de savoir-faire, d’exigence et de minutie. Rien qu’en Occident, les marionnettes célèbres sont pléthores, et sans être exhaustif, on peut citer Guignol ou Lafleur en France, Polichinelle ou Arlequin en Italie, Pittiplash ou Kasperle en Allemagne et dans les pays d’Europe de l’Est, Tatayet ou Tchanchès en Belgique, ou encore Monsieur Tranquille au Canada. Toutes manient l’humour et une certaine forme d’irrévérence et d’ironie. Les marionnettes exercent un pouvoir de fascination quel que soit l’âge du spectateur et ce depuis fort longtemps. Pour nous éclairer, après une introduction conséquente sur l'histoire des marionnettes en Occident, nous avons donné le micro le 6 juillet dernier, à Bobigny, à : Laura FEDIDA, 35 ans, marionnettiste, metteuse en scène, performeuse, formée à l'école de marionnettes de Charleville. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour ce 24ème épisode du podcast, nous sommes retournés en Ariège, à Foix plus précisément, pour tourner notre lanterne sur un sujet sensible et complexe, dans ce département du sud de la France comme dans toute la région cispyrénéenne : la « réintroduction » et la présence de l'ours dans les Pyrénées françaises. Pour nous éclairer, sur l'histoire de l'ours dans les Pyrénées, les enjeux écologiques, et les défis posés par la coexistence de l'ours et des activités humaines, nous avons contacté l'Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS), qui œuvre pour la défense de la faune dite sauvage, pour la préservation de ses milieux et habitats naturels, et pour une cohabitation apaisée avec les humains. Le 3 mai dernier, nous avons donc donné le micro à : - Alain Marek, qui vit en Ariège depuis douze ans, adhérent à l'ASPAS depuis une quinzaine d'années, longtemps délégués de l'ASPAS dans le département, et qui est désormais membre du conseil d'administration, et membre depuis peu du Bureau de l'association ; - Et Édouard Arnaud, délégué depuis un an de l'ASPAS pour le département de l'Ariège, où il réside depuis sept ans, et par ailleurs engagé dans un Master-recherche sur le rôle du tourisme dans la cohabitation entre ours et activités pastorales. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour le 23ème épisode du podcast L'allumeur de réverbères , nous avons fait le choix de zoomer sur les deux grandes réformes économiques et sociales du début du second quinquennat d'Emmanuel Macron, à savoir la réforme de l'assurance-chômage et celle des retraites. Pour cela, nous avons eu la chance de recueillir en « visio », l'analyse de deux membres des Économistes Atterrés, un collectif né en 2010 et qui critique notamment les postulats libéraux qui continuent à inspirer les décisions des pouvoirs publics partout en Europe. - Sabina Issehnane, économiste, chercheuse, et maître de conférences à l'Université de Paris, nous a décrypté le 24 février dernier la nouvelle réforme de l'assurance-chômage, adoptée au Parlement le 17 novembre, promulguée le 21 décembre, et qui s'inscrit dans la continuité d'une précédente réforme entrée en application de façon progressive entre 2019 et 2021. - Henri Sterdyniak, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), a analysé pour nous, le 29 mars, la réforme des retraites adoptée par le biais du 49-3 le 20 mars dernier : le report de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans, l'accélération de la mise en place de la réforme Touraine de 2014 prévoyant une trajectoire d'augmentation de la durée de référence du système de retraite jusqu'à 43 annuités, la disparition des régimes spéciaux, etc. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour ce vingt-deuxième épisode du podcast L’allumeur de réverbères, nous nous sommes penchés sur un pays régulièrement traité sur notre plateforme, à savoir la Mauritanie, pays d’Afrique de l’Ouest et du Sahel. Pour rappel, la Mauritanie est une république islamique, ancienne colonie française indépendante depuis le 28 novembre 1960, et peuplée d’environ 4 millions et demi d’habitants, parmi lesquels une communauté arabo-berbère composée de tribus maures ; les descendants des esclaves de ces mêmes tribus, les Haratines ; et plusieurs communautés noires originellement plutôt localisées sur la Vallée du fleuve Sénégal, même si pas seulement : les Peuls, les Wolofs, les Soninkés, ou encore les Bambaras. La Mauritanie est un pays qui a connu une urbanisation récente depuis quelques décennies seulement, en particulier suite aux vagues de sécheresses qui ont provoqué des exodes ruraux vers la capitale Nouakchott (qui représente plus du quart de la population du pays) et vers quelques villes secondaires telles que Nouadhibou, kiffa et Kaédi. Cette urbanisation bouleverse les schémas et les rapports sociaux traditionnels. S’y ajoutent la scolarisation de masse (au moins au niveau de l’école primaire), ou encore la progression des technologies de l’information et des communication. Parmi ces schémas traditionnels, ceux structurant les rapports de genre et la place des femmes ne font pas exception. En dépit d’une image souvent édulcorée sur la condition des femmes dans ce pays (notamment les femmes Maures, régulièrement qualifiée de « femmes-reines »), de nombreux aspects de leur vie sont aujourd’hui contestés et remis en question par la société civile, parfois soutenue par les organisations internationales : inégalités dans l’accès aux richesses et au marché de l’emploi, dans la représentation politique, dans l’accès à certains loisirs, persistances de pratiques de l’excision, de la pratique du gavage, contraintes vestimentaires, contrôle social et familial de la sexualité des femmes, inégalités devant certaines dispositions légales telles que les règles de l’héritage, absence de dispositifs de lutte contre les violences sexuelles et les violences domestiques, etc. Dans la continuité de podcasts précédents, c’est vers les militantes féministes mauritaniennes que nous nous tournons, pour comprendre leurs stratégies d’action, les enjeux et défis qui se posent à elles dans une société fortement marquée par le poids de la religion et de la communauté. Également pour comprendre comment elles articulent leur travail et construisent leur pensée féministe. Nous avons donc donné le micro aux personnalités suivantes, toutes trois membres du collectif féministe Voix des femmes : Mekfoule Ahmed, cofondatrice en 2011 de l’initiative Etkelmi (اتكلمي) pour la modification des dispositions du Code pénal relatives aux violences sexuelles, et qui a contribué à la mise en place de l’Observatoire à l’Égalité des Genres de la Faculté des Sciences Économiques et Juridiques de Nouakchott ; Faty Kane, activiste de la santé de la reproduction, ainsi qu’en faveur d’une meilleure participation des femmes aux nouvelles technologies dans le cadre du réseau international Femmes & TIC ; Salka Hmeida, présidente de l’association Taghadoum et activiste sur les réseaux sociaux. Outre l'intérêt de mieux comprendre les stratégies de lutte de ces militantes de terrain, ce podcast vise à montrer un visage différent de celui le plus souvent présenté par la Mauritanie : celui d’une jeunesse courageuse, avide de changements en faveur de l’égalité, des libertés et de la justice. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Vingt-et-unième épisode du podcast L'allumeur de réverbères : alors que, deux ans après le Ségur de la Santé, les démissions dans l'Hôpital public connaissent un boom, nous avons choisi de porter notre lanterne sur la crise du secteur de la Santé. Le 27 novembre, nous avons donné le micro à deux infirmières du Collectif Inter-Hôpitaux : Sylvie Pecard, infirmière depuis une trentaine d'années, qui exerce actuellement à l'hôpital Saint-Louis, à Paris ; et Sophie Michallet, infirmière diplômée depuis dix ans, qui a quitté il y a peu de temps le monde hospitalier, et réside actuellement à Grenoble. Pour rappel, l'Inter-Hôpitaux est un collectif fondé en septembre 2019 dans le contexte de la grève des Urgences et de mouvements de mobilisation dans divers services hospitaliers, dans plusieurs villes de France (hexagonale et outre-mer). Dans la continuité d'un précédent épisode du podcast publié en juin 2020 sur le sujet ( Crise de l'Hôpital public : plus d'un an après le début de la grève, les éclairages du Collectif Inter-Urgences ), l'objectif de cet entretien est de comprendre les raisons profondes de la grogne de l'Hôpital, et notamment la vague de départs que connaissent les différents services hospitaliers depuis plusieurs années, alors même que des réponses ont déjà été apportées par le gouvernement. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour ce vingtième épisode du podcast L’allumeur de réverbères, nous nous sommes penché sur la Mauritanie et un thème qui lui est rarement associé, à savoir les nouvelles technologies et l’innovation. Ce pays d’Afrique de l’Ouest, occupé en grande partie par le désert saharien et la bande sahélienne, est en effet généralement identifié comme un pays « au million de poètes », de tradition islamique et de culture nomade, avec ses vieilles villes caravanières et ses oasis qui attirent quelques centaines de touristes chaque année. Or, depuis environ deux décennies, on constate, notamment en milieu urbain mais pas seulement, une tendance qui rompt quelque peu avec cette image de société traditionnelle statique, à savoir une montée en puissance de l’usage des technologies de l’information et de la communication (TIC), d’Internet, des téléphones connectés, et naturellement des réseaux sociaux. Ces nouveaux usages vont de pair avec l’arrivée sur le marché du travail de nombreux jeunes, formés sur ces technologies à Nouakchott, la capitale, ou à l’étranger, par exemple au Maroc, au Sénégal ou en France. Ingénieurs en télécommunication, développeurs, startuppers, etc., ces jeunes sont désireux de voir leur pays entrer de plein pied dans le monde numérique et sont inspirés par les initiatives qu’ils rencontrent à l’étranger : fablabs, makerlabs, hackerspaces, hackathons, incubateurs, etc. Les pouvoirs publics, comme souvent ont pris du temps pour accompagner ces changements, voire s’en sont méfiés dans un contexte de régime militaire. Dans la continuité de précédents articles ( L'innovation est-elle réservée aux pays du Nord ? Le contre-exemple de la Mauritanie , Mauritanie : le Sahel Fablab, quand innovation technologique rime avec insertion des jeunes ), nous avons donné le micro aux trois personnalités mauritaniennes suivantes : Moustapha Adi Ould Yacoub, 34 ans, fondateur de MauriAndroïd, membre du Google Developper Group et cofondateur de plusieurs initiatives dans les nouvelles technologies ; Diarra Sylla, 40 ans, ingénieure Telecom et présidente de l'association InnovRIM qui a notamment mis en place le premier fablab mauritanien, c’est-à-dire un laboration de fabrication, lieu d’innovation ouvert et doté d’équipement et de machines-outils à disposition des membres et d’entrepreneurs ; Mohamed Abdou, 39 ans, ancien blogueur et ancien membre du Mouvement du 25 février, militant prodémocratie. Outre l'intérêt de mieux comprendre les évolutions et enjeux récents sur un thème d’avenir, ce podcast vise à changer les idées reçues sur la Mauritanie, et sur le continent africain de manière générale, en mettant en lumière des jeunes dynamiques et soucieux de voir leur pays mieux connecté à son environnement régional. Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/lallumeurdereverberes Et sur Twitter : https://twitter.com/DeAllumeur…
 
Retrouvez les podcasts et articles du blog sur : lallumeur-dereverberes.com/ Pour ce nouvel épisode du podcast L'allumeur de réverbères , nous sommes allés, le 19 juillet dernier, à la rencontre de Corina Pallais et Céline Le Negaret, respectivement psychologue et sage-femme à la Maternité des Lilas, en Seine-Saint-Denis. Créé en 1964, l'établissement accompagne 1 400 naissances chaque année, et permet à 900 femmes d'avorter. C'est le libre choix des patient·e·s qui préside en ce lieu : celui de donner naissance, ou non, et comme on le souhaite, éventuellement de façon physiologique et non médicalisée. En outre, la place centrale des sages-femmes dans l'accompagnement à la naissance est une des spécificités de la Maternité. La philosophie qui l'anime traduit non seulement une certaine vision du service public, qui ne doit pas être basé sur une simple logique comptable ; mais également un certain regard porté sur le corps des femmes, ainsi que sur une palette de sujets qui y sont plus ou moins directement liés : la grossesse, la naissance, la fertilité, la parentalité, etc. Forte de cette réputation (et du retour d'expériences très riche que les patient·e·s apportent régulièrement sur la qualité de l'accompagnement qu'on y trouve), la Maternité fait désormais partie intégrante du patrimoine de la commune des Lilas, et plus généralement de la Seine-Saint-Denis – département où les enjeux médico-sociaux sont particulièrement importants. Ce lieu est pourtant menacé de fermeture depuis une décennie par l'Agence Régionale de Santé (ARS), et ce en dépit, vers 2014-2015, d'un projet de relocalisation ambitieux sur la commune des Lilas, qui devait permettre d'en pérenniser les activités. Un nouveau projet doit à présent être proposé à l'ARS d'ici juin 2023, ce à quoi s'attèle un collectif de citoyen·ne·s, d'usager·e·s et de salarié·e·s de l'établissement. Le maire des Lilas, mais aussi ceux de trois communes voisines : Bagnolet, Romainville, Le Pré-Saint-Gervais, se sont d'ailleurs engagés récemment à rechercher une emprise foncière qui permettrait de relocaliser la Maternité à proximité des locaux actuels, sous couvert de validation du futur projet par l'ARS. Un entretien très riche avec Corina et Céline, qui nous a permis de revenir sur l'histoire, la philosophie de travail et le devenir de la Maternité. L'occasion également d'échanger sur des sujets aussi divers que le regard porté par la société sur le corps des femmes, l'évolution de la place des médecins et des sages-femmes dans l'accompagnement des sages-femmes, ou encore la diversité des pratiques d'accouchement. Retrouvez-nous sur Facebook : www.facebook.com/lallumeurdereverberes/ Et sur Twitter : twitter.com/DeAllumeur…
 
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